Roman érotique "Ayez pitié...De moi"
Ayez pitié... De moi

Ayez pitié… De moi… Chapitre 1

Ayez pitié… De moi… Chapitre 1

Quel est le coup le plus salaud qu’un ami, ou une amie, ait pu vous faire…?

Roman érotique "Ayez pitié...De moi"

C’est après une bonne heure de route que me voici finalement arrivé à destination. Enfin, d’après mon GPS, il ne me reste plus qu’à traverser ce parking, et d’entrer dans cette propriété, dont le portail en bois blanc est ouvert, pour l’être réellement.

Me retrouvant maintenant dans une cour, je décide de me garer juste à côté de cette Mazda bleu foncé, stationnée en face, d’une grande et magnifique maison en pierre.

Sortis de ma voiture, je me dirige vers la boîte aux lettres, afin de confirmer, que je suis bel et bien au bon endroit. Je suis effectivement au numéro 6, mais pas le nom du propriétaire ou du locataire inscrit dessus. Au moins, le message m’a permis de savoir que je devais rencontrer un certain, Morgan.

Lâchant un grand soupir tout en secouant la tête, je suis encore à me demander, comment j’ai pu vouloir assumer, un engagement que cet idiot de Baptiste a contracté à ma place, et cela, pour une candidature, qu’il s’est permis d’adresser en mon nom.

Peine perdue, c’est inutile de me poser cette question. Cela ne changera plus grand-chose, à présent que je suis là. Grimpant les escaliers en pierre menant à la grande véranda, je constate que celle-ci est rattachée, par deux portes vitrées, à la maison.

En regardant à travers la première, j’y aperçois une assez grande cuisine. Au lieu de toquer, je décide de tenter la deuxième. Trois mètres après, je passe devant une deuxième fenêtre. À peine, je la dépasse, que je reviens sur mes pas.

Mon esprit me joue probablement des tours, car j’ai cru apercevoir quelque chose… Non… Impossible. Qu’est-ce que…

Merde, je dois rêver, ce n’est pas réel !

Je me frotte les yeux, mais ces hallucinations sont toujours là. Je me pince fort, très fort sur le bras… La jambe… Mais pas de changement. Putain, alors c’est vrai, c’est vraiment en train d’arriver et sous mes yeux, alors ?!

Bon sang, mais qu’est-ce que je dois faire ?!

Cette scène, qui attire tellement mon regard, que je ne peux détourner les yeux. J’ai l’impression d’être un voyeur, ça me perturbe. Je sais bien, au fond de moi, que je devrais arrêter… Mais cet instant volé est terriblement excitant.

Je le sens, qu’une partie de mon corps réagit à la vue de cette beauté tentatrice, bien installée sur son canapé d’angle noir, dont les jambes sont recouvertes d’un plaid rouge bordeaux et qui tient dans sa petite main, un vibromasseur “le Rabbit gold” qu’elle approche de sa sublime bouche, d’où sort sa petite langue qu’elle pose sur le gland, en fait le tour, avant de refermer ses lèvres autour.

L’objet retiré, la voici qui le lèche de la base au gland encore et encore avant de l’enserrer de nouveau de ses lèvres charnues et d’entamer de très lents va-et-vient, jusqu’à l’engloutir entièrement.

Bon dieu, que c’est bandant ! J’ai envie de me masturber en l’observant, j’en ai besoin, mais impossible. Si l’on me surprenait ainsi, c’est certain, je finirai direct en taule !!!

Merde, je ne peux rien faire d’autre, que de rester ainsi à contempler ce magnifique spectacle qui m’ait offert… Enfin… En quelque sorte…

Oh, putain de merde ! Je la vois accélérer les va-et-vient de plus en plus vite. Et tout de suite, je l’imagine reproduire absolument tout ça, sur ma douloureuse érection.

Elle commence à ralentir la cadence, jusqu’à retirer lentement, très lentement, le vibromasseur de sa merveilleuse bouche.

Je me mords la lèvre lorsque je me rends compte de ce qu’elle est en train de faire…

Je distingue du mouvement au niveau du plaid et je comprends aussitôt que ce sont ses jambes qui s’écartent, se découvrant alors en dehors du plaid, de chaque côté. À présent, les seules parties couvertes sont, son bas ventre, son intimité et le haut de ses jambes.

Écartant le haut du plaid, elle faufile le Rabbit dessous et je deviens fou, en la voyant se cambrer tout en poussant un petit cri, et je comprends sans peine qu’elle l’a inséré à l’intérieur d’elle, voire au plus profond.

Tandis que je vois le plaid se mouvoir au rythme de ses va-et-vient, je prends enfin le temps de la détailler minutieusement…

Une adorable beauté, à couper le souffle… Brune, aux cheveux longs, ondulés, je ne m’aperçois seulement, à cet instant, qu’elle a les yeux fermés. J’ignore si c’est un haut ou une robe, mais c’est magnifique… Cela ressemble au kimono japonais de couleur noir et rouge au décolleté assez profond nous offrant une vue époustouflante sur une poitrine des plus parfaites sur laquelle, descendent quelques mèches bouclées.

J’aimerais en découvrir davantage… Et comme si elle avait entendu mes pensées, sa main libre, vient délicatement effleurer l’un de ses seins, avant de le découvrir, de titiller son téton pointant, tirant dessus tout en poussant des gémissements dans un mélange de plaisir et de douleur, tout en se cambrant.

Alors que le rythme des mouvements du plaid se font plus rapide et plus fort, ses réactions de plaisir s’intensifient, provoquant chez moi, un effet des plus indescriptibles… J’ignore ce qui m’arrive, je sens mon corps bouillir de l’intérieur. C’est tellement intense, tellement fou ce qui est en train de se produire en moi… Cela m’effraie presque.

Mon érection me fait terriblement mal, j’aimerais pouvoir me soulager et me laisser à la jouissance avec elle. Bon sang, je ne vais pas y arriver.

Sans que je m’y attende, elle me surprend en rapprochant son téton découvert vers son visage qui descend pour permettre à ses lèvres de s’ouvrir et de le prendre en bouche et de le lécher, le sucer.

Putain, c’est la première fois que je vois une femme faire ce genre de chose et cela m’excite au plus haut point !

La voyant haletante à souhait, gémissant encore et encore tout en continuant les rapides pénétrations, je comprends qu’elle est sur le point de jouir.

Allez, vas-y, laisse-toi aller. Jouis… S’il te plaît, je veux te voir atteindre l’orgasme, tu dois être sublime lorsque tu te laisses emporter par le plaisir. Pendant que je la regarde, m’imaginant lui murmurer ces paroles tout en la possédant, je sens le plaisir monter en moi…

Plus elle se laisse submerger et plus cela m’affecte, je ne contrôle absolument rien, c’est comme si mon corps s’était déconnecté pour se concentrer que sur elle.

Alors que je suis témoin de la vague de Plaisir qui la consume, je sens mon corps réagir brutalement tandis qu’un râle s’échappe de moi. Paniqué, mes mains viennent se plaquer sur ma tête et je me laisse glisser, tomber, accroupi le long du mur.

Putain de bordel de merde, qu’est-ce que c’était que ça !!!???

Complètement abasourdi par ce qui vient d’arriver, je ne peux plus bouger. Merde ! C’était quoi ?! J’ai pris mon pied, j’ai eu un orgasme sans même gicler !!! Comment c’est possible ??!

Je reste ainsi, quelques minutes, le temps de me remettre de ce qui vient de se passer… Puis je me relève, jette de nouveau un coup d’œil par la fenêtre.

Elle est toujours là, dans la même position, la tête penchée en arrière, les yeux ouverts, et le Rabbit posé juste à côté d’elle… Elle semble essoufflée… Et je m’en veux d’avoir loupé les dernières minutes de sa jouissance…

D’un coup, elle redresse la tête et son regard se pose instantanément sur moi.

Et merde…

Ayez pitié… De moi… Chapitre 2

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