Choisis-moi… Chapitre 1
IAN
-Au fait, avant qu’on rentre, il faut que je te prévienne que j’héberge Aylie, donc ne sois pas surpris de voir une fille chez moi. me prévient Max, mon meilleur pote, tandis que nous sommes sur le palier de son appartement.
-Aylie? lui demandé-je, ignorant qui pouvait bien être cette fille.
-Oui, la meilleure amie de ma soeur. Je t’ai sûrement déjà parlé d’elle, non?
Je cherche dans ma mémoire quelques secondes puis:
-C’est la fille qui a protégé ta soeur lorsqu’elle se faisait harceler au collège et qui a frappé le mec qui s’est vanté d’avoir couché avec elle alors que c’était faux?
-C’est bien elle, je vois que tu retiens quand je te parle. Il faut que je te dise qu’elle est un peu spéciale, alors ne te poses pas de questions, elle a toujours été comme ça.
-Qu’est-ce que tu entends par spéciale? le questionné-je curieux.
-Tu verras bien, elle va rester un petit moment ici, donc tu auras le temps d’apprendre à la connaître un peu. termina-t-il en ouvrant la porte.
Nous entrons et Max annonce notre arrivée à l’intéressée. N’ayant aucune réponse, il décide de me faire visiter et finit par ma chambre où je dépose ma valise. Pendant que je range mes affaires dans la commode, il m’explique que le père et la belle-mère d’Aylie sont morts il y a trois mois. Il est sur le point de m’en dire plus lorsqu’on entend un rire. C’est sûrement la fameuse Aylie, on sort de la chambre quand nous parviens un nouveau rire suivit d’un “mais qu’est-ce que c’est con”. Je me tourne vers mon ami, un air interrogateur sur le visage.
-Elle est sans doute entrain de lire. me rétorque-t-il un sourire aux lèvres. Lorsqu’elle lit, c’est trop mignon, elle rit, pleure, se met en colère, s’en est marrant, tu verras. Elle doit être à la cuisine pour préparer le repas, un véritable cordon bleu.
Je le suis jusqu’à la cuisine, je n’ai pas dû voir qu’il s’était arrêté, car je lui rentre dedans, il a l’air figé. Je suis son regard et j’en reste bouche bée. Merde.
Devant nous, un corps splendide se tient dos à nous en shorty noir et débardeur rouge. Putain quel cul! Rond, ferme, de belles jambes fines galbées et pieds nus. Le pire, c’est quand tu la vois se trémousser tout en chantant et en remplissant une casserole d’eau qu’elle pose ensuite sur la plaque à induction.
Elle a une façon de se déhancher qui est tellement sexy que ça commence à me faire réagir. J’ai envie de coller mes mains sur ses hanches et de plaquer son joli cul contre moi pendant qu’elle danse.
Je comprends pourquoi elle nous a pas entendus arrivé, elle porte des écouteurs. Elle doit bouger en fonction de la musique car elle ralentie ses déhanchements et ré-accélère.
D’un coup, elle se met à taper sur le plan de travail en suivant le rythme. Je bande comme un fou. Il faut que j’arrête de la mater sinon je vais pas pouvoir me calmer. Manquerait plus qu’elle ne me chope dans cet état pour notre première rencontre.
Je me détourne et pose une main sur l’épaule de Max qui a les yeux toujours fixés sur la magnifique brune. Vu comme il réagit, je suppose qu’il ne doit pas avoir l’habitude de la voir comme ça.
Il se met à secouer la tête, sans doute pour reprendre ses esprits, s’avance vers elle et lui tapote sur l’épaule. Mince, elle lâche un petit cri, se retourne en sursautant. Bon dieu! Qu’est-ce qu’elle est fichtrement belle! Elle est carrément sublime.
Elle a un regard envoûtant avec ses beaux yeux bleus, un petit nez fin et une bouche pulpeuse faite pour les baisers. Son débardeur nous offre un joli décolleté juste ce qu’il faut d’où on voit dépasser un bout de son soutient gorge en dentelle noire. Sa poitrine n’est ni trop grosse ni trop petite, je dirais un bonnet c, hauts, ronds, pleins qui soulignent sa fine taille. Elle est parfaite même si elle n’est pas très grande, par rapport à Max, elle lui arrive au niveau des épaules étant donné qu’on fait la même taille.
-Max! Tu m’as fait peur. T’es rentré tôt aujourd’hui. Mince, dis-moi que tu viens juste d’arriver hein? demande-t-elle complètement gênée d’avoir été surprise.
Max se racle la gorge:
-On vient juste d’arriver. lui répond-il en se tournant vers moi et me suppliant silencieusement de ne rien dire. Je te présente Ian, mon meilleur ami, il va rester quelque temps ici. Ian, voici Aylie, la meilleure amie de ma soeur.
-Enchanté. dit-on en même temps, ce qui nous fait sourire.
Elle s’approche de moi en arborant toujours son joli sourire. Qu’est-ce qu’elle est ravissante. Dès qu’elle arrive devant moi, elle se hisse sur la pointe des pieds pour me faire la bise. Alors là, je ne me fais pas prier, je penche la tête en avant pour l’embrasser sur la joue. Je me suis rendu compte que je retenais ma respiration que, lorsque je sentis une délicieuse odeur de fruits de la passion qui se dégageait d’elle et m’enivra à tel point que je dus me retenir de glisser mon nez vers son cou pour me remplir de son odeur et de la mordre. Oh là. Calme, reste zen. Elle recula et sourit de nouveau.
-Max, ce soir j’avais prévu de faire un poulet au curry, mais étant donné que tu n’aimes pas ça, Ian et moi, on le mangera pendant que je te ferai autre chose. dit-elle en me faisant un clin d’oeil.
Je n’ai pas le temps de comprendre, qu’il se précipite sur elle, la retourne avec l’expression d’un enfant à qui on vient de faire une surprise.
-C’est vrai? Un poulet au curry? J’adore! Oh! tu sais que je t’aime, toi. lâcha-t-il en la soulevant dans ses bras avant de virevolter dans la cuisine.
La jeune femme éclate de rire et je ne peux m’empêcher d’éprouver une pointe de jalousie envers lui qui la tient dans ses bras. Je suis sur le point de réagir lorsqu’il se met à l’embrasser sur le front quand un bip résonne dans la pièce. Max repose Aylie qui se dirige vers la plaque à induction pour attraper la casserole et en vider le contenu dans une passoire au-dessus de l’évier.
-Tu as de la chance, ton premier soir ici et tu auras le droit à un merveilleux poulet au curry. Tu verras, c’est un vrai régale. J’en réclame un toutes les semaines tellement j’en suis accro.
Mince, je commence vraiment à devenir jaloux alors que je viens à peine de la rencontrer. J’imagine sans peine le bonheur que cela doit être d’être accueilli à la maison par une telle femme qui en plus te prépare le dîner. Quand je pense que j’ai failli m’installer à l’hôtel pour éviter de déranger Max et louper cette chance.
-Que dites-vous les gars, d’allez vous installer devant la télé pendant que je fais la cuisine?
-Mais oui, il y a le catch ce soir, heureusement que t’es là, que ferais-je sans toi hein?
-Allez filez, je vous apporte des bières.
-Je crois qu’il n’y en a plus.
-Il n’y en avait plus, c’est pour ça que je suis allée en acheter deux packs tout à l’heure. Vous avez le choix entre leffes nectar et la radieuse.
-T’es vraiment la meilleure. la complimenta-t-il en l’enlaçant par-derrière et lui déposant un baiser sur la joue, ce qui me fit serrer les poings. Ian laquelle tu préfères? Nectar ou radieuse? me demande-t-il en lâchant Aylie.
-Va allumer la télé, je vous les apporte. Dites-moi juste lesquelles vous voulez.
Max choisit une nectar et moi une radieuse. Je n’ai même pas le temps de la remercier qu’il m’embarque dans le salon. Nous nous installons sur le canapé, il attrape la télécommande et allume la télé pour mettre le catch.
C’est vrai, qu’avant on se faisait souvent des soirées catchs. Tout a changé quand on a commencé à travailler. À la fin de nos études, nous nous sommes associés pour monter notre propre entreprise qui nous a très bien réussi jusqu’ici.
Aylie débarque avec un plateau contenant nos deux bières, des tranches de saucisson, des chips et des pistaches qu’elle dépose sur la table basse en face de nous. Elle décapsule les bouteilles et nous les tends.
Lorsque je tends le bras pour prendre la mienne, mes doigts effleurent les siens et j’ai comme une impression qu’un courant électrique me parcourt le corps. Je l’observe cherchant à savoir si elle a ressenti la même chose que moi. Elle fixe nos mains puis lève la tête et ses yeux croisent les miens quelques secondes puis finit par se détourner.
Je saisis ma radieuse et en bois une gorgée, elle est bien fraîche, ça fait du bien.
-Aylie, t’as vu ça? Quelle prise de Randy Orton. s’exclame Max complètement captivé par le match.
-Max, tu sais très bien que depuis que CM Punk et Daniel Bryan ne sont plus là j’ai arrêté de suivre la WWE. rétorqua-t-elle en retournant dans la cuisine.
-Ah oui, c’est vrai que t’étais une fidèle supportrice de ces deux-là. Tu l’aurais vu criant l’injustice contre Daniel Bryan et CM Punk. Déchaînée devant un écran, elle était trop mignonne. Je me rappelle que cela avait marqué des amis qui étaient venus assister à un match. Ils étaient tous étonnés de la voir arriver avec ma soeur, d’ailleurs quand j’y pense, c’est à cette soirée qu’Emma a rencontré son David et se sont mariés deux ans plus tard. Au fait, Aylie, tu n’es pas sorti avec l’un d’eux après ce soir-là? Il s’appelait comment déjà?
Merde, je n’ai pas envie de savoir avec qui ou même avec combien d’hommes, elle est sortie. On ne pourrait pas changer de sujet. Aylie fait comme si, elle n’avait rien entendu et nous annonce que le repas est prêt et demande à Max de mettre la table, ce qu’il s’empresse de faire avec un grand sourire.
C’est dingue, je n’aurais jamais cru qu’un plat pouvait le rendre si heureux, on dirait vraiment un enfant qui s’apprête à ouvrir un cadeau dont il connaît déjà la surprise.
J’ai hâte de goûter ce poulet au curry, rien qu’à l’odeur qui s’échappe de la cuisine j’en ai l’eau à la bouche. Je me mets à rire lorsque je vois mon ami qui n’arrête pas de faire les cent pas devant l’entrée de la cuisine, tellement impatient qu’il est sur le point d’y entrer quand Aylie en sort avec le plat dans les mains et lâche un mignon petit rire quand elle le surprend. Elle pose le plat au milieu de la table et nous interdit d’y toucher pendant qu’elle va découper des tranches de pain.
Max profite qu’elle s’en aille et qu’elle en ait pour un moment pour me proposer de tremper un doigt pour goûter la sauce qui d’après lui est un vrai régal. Je me laisse tenter et nous trempons tous les deux un doigt dans la sauce.
-Ah, ne bougez pas. nous parvient une voix douce.
Max et moi, nous nous arrêtons, les doigts toujours dans le plat. Il tourne la tête vers moi:
-Mince, choppé. me dit-il avec le visage d’un enfant qui a fait une bêtise.
-Que vois-je? Deux enfants qui profitent que j’ai le dos tourné pour commencer sans moi. On ne peut même pas leur faire confiance à ses hommes. soupire-t-elle en se mettant entre nous tout en observant les preuves du délit. Donnez-moi vos doigts.
Comme des gamins punis, nous lui tendons nos doigts qu’elle attrape. Oh Merde. Elle les fourrent dans sa bouche et fais un huit avec sa langue pour lécher la sauce. Putain que c’est bon. Maintenant, je l’imagine entrain de me sucer ailleurs. À en croire l’expression de Max, je ne dois pas être le seul à y penser. Merde! Est-ce qu’au moins elle se rend compte de ce qu’elle fait. Déjà avec sa tenue c’est juste, mais là, elle essaye carrément de nous faire craquer ou quoi. Elle s’arrête et fait coulisser nos doigts vers la sortie.
-Mince, le repas va être froid, je vais chercher le pain et vous pas touche sinon privé de repas. nous prévient-elle en retournant dans la cuisine.
Max reste bouche bée quelques secondes avant de se reprendre et va s’installer à table. Je ne sais pas s’il pense à la même chose que moi, mais si elle nous aurait punis en refaisant ce qu’elle vient tout juste de faire, j’aurais volontiers recommencé. Il n’y a pas à dire, cette fille, c’est la tentation incarnée. À cette allure, je ne sais pas combien de temps, je pourrais me retenir de lui sauter dessus. Elle est trop séduisante. Elle revient et pose une panière de pain et s’installe à côté de moi et en face de Max.
-Quoi… Qu’est-ce que vous avez à me regarder comme ça? J’ai quelque chose sur le visage? nous demanda-t-elle en se passant la main sur le visage.
Nous secouons la tête, pendant qu’elle prend un morceau de pain qu’elle sépare en deux et le trempe dans le plat.
-Étant donné que vous avez triché, je commence. déclare-t-elle avant d’apporter le bout devant elle, lèche la goûte qui menace de tomber et finit par glisser le morceau dans sa bouche.
Bordel! Pourquoi faut-il qu’elle soit aussi sexy. Le pire, c’est qu’elle n’a pas l’air de s’en rendre compte. Je suis tellement perdu dans mes pensées que je n’ai même pas remarqué qu’elle nous avait tous servis. Max, change de chaîne et, nous met un épisode de Friends et m’explique que lui, sa soeur et Aylie ont l’habitude de regarder cette série parce qu’elle est drôle, ce que je ne tarde pas à découvrir.
En réalité, je ne suis pas vraiment, trop absorbé à contempler ma voisine qui a un rire vraiment agréable que je ne me lasse pas d’entendre. Le poulet au curry était succulent puisque j’en ai repris trois fois, j’en tomberais accro si je ne l’étais pas de la cuisinière. Je n’arrive pas à détacher mes yeux d’elle, elle m’a complètement envoûté.
Aylie se lève pour débarrasser la table, je lui propose mon aide qu’elle accepte tandis que monsieur le goinfre se frotte le ventre. Tu m’étonnes! Il s’est fini tout le reste du plat, quand il disait qu’il adorait, c’était peu dire. Après avoir fini de débarrasser, nettoyer la vaisselle et la table, nous nous décidons à regarder un film tous ensemble. Elle nous laisse choisir et s’en va pour revenir quelques minutes plus tard avec une tablette et un clavier. Elle s’installe à table et nous sur le canapé. Dommage, j’aurai bien voulu qu’elle vienne s’asseoir avec nous. Les lumières éteintes, le film débute, on a opté pour un film d’action.
Au bout d’un moment je ne peux m’empêcher de regarder derrière.
Aylie est concentré sur son écran et ses mains s’activent sur le clavier. Elle se mord la lèvre inférieure tout en posant une main au-dessus de son décolleté et descend lentement sur sa poitrine jusqu’à sa cuisse et serre le bas de son short. Putain qu’est-ce qu’elle fait. Faut que j’arrête de la mater.
Je fixe de nouveau la télé en me demandant à quoi elle pouvait bien penser. À la fin du film, Max va se coucher après être allé se brosser les dents. Moi j’ai besoin d’une bonne douche froide pour me calmer, mais rien n’y fait, je n’arrive pas à me la sortir de la tête, même pas une demi-heure sous l’eau froide. Je me brosse les dents et sors de la salle de bain pour gagner ma chambre. Je regagne ma chambre, m’allonge en attendant d’être emporté par le sommeil.
À minuit, impossible de dormir, je décide donc d’aller me chercher un verre d’eau dans la cuisine.
Arrivé devant j’aperçois de la lumière vers le canapé.
Tiens, Aylie ne dort toujours pas?
Je m’approche et découvre la jeune femme endormie avec sa tablette et son clavier posé sur son ventre. Je fais le tour prends ses affaires que je pose sur la table basse et essaies de la réveiller pour qu’elle aille se coucher. Elle ne se réveille pas, je pousse un soupir et je glisse un bras sous sa nuque et l’autre sous ses genoux pour la porter jusqu’à sa chambre.
Arrivé dans la pièce, je lui fais changer de position en plaçant ses jambes autour de ma taille et cale sa tête contre mon épaule afin de me libérer une main pour tirer la couverture au pied du lit.
Elle enroule ses bras derrière ma nuque et je l’entends pousser un petit gémissement. Je déglutis et m’empresse de la poser sur son lit quand elle commence à m’embrasser dans le cou.
Qu’est-ce qu’elle… Merde… Je la sens qui me mordille doucement tout en enfonçant ses ongles dans mon dos. Je serre les dents Bon sang, si elle continue comme ça, je vais finir par perdre le contrôle.
Pour éviter cela, je me mets à genoux au pied du lit pour l’allonger délicatement. Sa bouche remonte le long de mon cou et ses lèvres viennent se poser sur les miennes et me lèchent la lèvre inférieure avant de la mordre.
Bordel, je n’en peux plus et lui rends son baiser. Non, je ne peux pas faire ça. Je lui retire ses bras et me relève. Elle pousse un soupir de protestation dans son sommeil.
Je prends la couette pour la rabattre sur elle quand je la vois poser sa main gauche sur son sein gauche et commencé à le malaxer et faire descendre l’autre de son cou à son ventre pour disparaître sous son shorty puis se cambrer.
Ce n’est pas vrai, elle veut me rendre fou. Comment voulez-vous que je réagisse devant une femme qui se caresse devant moi. Eh putain ses gémissements de plaisir me tuent. Elle est tellement sex que je bande à un point que s’en est douloureux. J’ai vraiment du mal à résister à la tentation. Je n’arrive pas à m’en empêcher, je sais qu’il ne faut pas, mais j’ai besoin de la toucher.
Je m’allonge au-dessus d’elle tout en lui écartant les jambes de mon genou et l’embrasse dans le cou. Je promène ma main gauche sur son sein droit, descends rejoindre celle qui est caché sous son short.
Oh putain! Entièrement épilé, je passe mes doigts sur sa chatte mouillée ce qui lui fait enlever la sienne. Je la caresse avec délicatesse puis la pénètre d’un doigt, elle se cambre encore plus en poussant un petit cri. Elle est tellement serrée et accueillante que s’en est bon. Je fais des va-et-vient tout en caressant son clitoris du pouce. D’abord lentement puis j’accélère de plus en plus la cadence. Sa respiration se fait plus rapide.
-Oh…oui…c’est bon, continu… supplie-t-elle tandis que son sexe se contracte autour de mon doigt.
Je lève la tête en pensant qu’elle est réveillée, mais non elle dort toujours. Je ralentis mes pénétrations quelques secondes et je sens son corps qui vient à la rencontre de mon doigt, ce qui m’en fait plonger un deuxième en elle. Elle pousse un petit cri de plaisir et se cambre de nouveau. Malgré le bien fou que cela me fait de lui provoquer ces réactions, cela ne me suffit pas, j’ai besoin de plus. Il faut, non, j’ai besoin de la goûter. Je sors mes doigts et les apportent à ma bouche pour les lécher. Humm… Pas assez, il faut que j’aille à la source. Je retire délicatement son shorty et approche mon visage de son sexe, lui donne un petit coup de langue. Oh oui, c’est beaucoup mieux. Quel doux nectar, légèrement sucré. Je titille et appuie sur son bouton gonflé et elle gémit plus fort et pose ses mains derrière ma tête et la ramène un peu plus vers elle ce qui a pour effet d’enfoncer ma langue dans son antre de désir.
-Oh…mon dieu…encore… halète-t-elle.
C’est pas possible, il faut que je la fasse jouir. Je pénètre de nouveau deux doigts, entament des va-et-vient de plus en plus vite pendant que je lèche et suce son clito de plus en plus fort. Elle se contracte autour de mes doigts et je sens qu’elle va bientôt venir.
-Oui, c’est ça… laisse toi aller, jouis pour moi, ma belle. murmuré-je contre sa belle chatte.
Elle rejette la tête en arrière en poussant un cri d’extase. Je la savoure à pleine bouche lorsqu’elle s’agrippe à mon tee-shirt, me tire à elle et m’embrasse passionnément. Ses mains descendent le long de mon corps, s’arrêtent au niveau de mon boxer sur lequel elle tire et le baisse. Sa main se referme sur ma queue et me masturbe d’une lenteur extrême que ma bite menace d’exploser. Je bloque sa main pour me calmer.
-Tu ne veux pas? Ah. Je sais ce qui vas te plaire. affirme-t-elle d’une voix tellement sensuelle qu’elle manque de briser mon dernier soupçon de raison.
Je ne crois pas non. Parce que tout de suite, j’ai tellement envie de te prendre, non de te baiser que j’en ai mal. Elle déplace l’une de mes jambes puis l’autre et je me retrouve à califourchon au-dessus d’elle et me souris, les yeux toujours fermés. Elle est trop craquante, si seulement t’était consciente de ce que tu fais. Je me penche pour l’embrasser une dernière fois, mais elle se laisse glisser un peu vers le bas. Qu’est-ce qu’elle?… Oh putain! Je me crispe, retenant ma respiration. Elle plaque ses mains sur mes fesses et me lèche de la base à mon gland. Bordel de merde.
-Ne…fais…pas ça. la supplié-je en reprenant ma respiration.
Elle suce le bout et l’enfouit centimètre par centimètre dans sa bouche. Attends. Ça va trop loin, il faut que je l’empêche de continuer. J’essaye de me retirer, mais elle plante ses ongles et par réflexe, je donne un coup de bassin en avant qui propulse ma bite entièrement dans sa bouche. Oh, bon dieu que c’est bon. Je penche ma tête en rentrant le menton pour la voir. Elle me pousse tout en me suçant:
-S’il te plaît. Baise ma bouche. Vite et fort, je veux que tu éjacules à l’intérieur et je te promets d’avaler tout ce que tu me donneras. Je suis toute à toi. déclare-t-elle en me mettant au supplice à coups de langue et de succion.
-Par pitié arrêtes. Si tu continus, je… oh oui…suce-moi comme ça, encore. murmuré-je en poussant tandis qu’elle l’accepte jusqu’au fond de sa gorge. Oh, bon dieu, c’est ça. Prend-la en entière. Oui branle-moi avec tes lèvres. C’est génial, continu, c’est bien accélères. Encore…non, ne t’arrêtes pas. Tu…Tu veux que je te prenne moi, n’est-ce pas? T’as gagné, j’en peux plus.
J’enchaîne les coups de bassin, de plus en plus rapide et profond, elle engloutit tout sans haut-le-coeur. Putain que sa bouche est bonne. Oui, je sens que je vais bientôt jouir, je la baise toujours aussi vite mais plus fort. Ouai, putain que c’est bon. Je rejette la tête en arrière et je sens mon sperme se déverser dans sa merveilleuse bouche. Je la vois avaler jusqu’à la dernière goutte, je me retire et elle se lèche les lèvres.
-Humm…Délicieux. conclut-elle avec un sourire coquin.
C’est toi qui est délicieuse, bordel, ça fait même pas un jour que je te côtoie et tu me rends déjà complètement dingue. Je la remonte pour poser sa tête sur son oreiller, je remets mon boxer en place, m’installe à côté et la prends dans mes bras. Un gémissement de satisfaction s’échappe de ses lèvres.
-Dis-moi…des deux fois où je t’ai pris dans ma bouche laquelle as-tu pré…fé…rés? me demande-t-elle en sombrant complètement dans le sommeil.
Je me fige. Putain! Elle est avec quelqu’un? Bordel, qu’est-ce que j’ai fait? Eh merde! Comment j’ai pu être aussi con. Bien sûr, qu’une femme comme elle a un mec. Elle rêvait de lui et moi j’ai…Fais chier. Je me lève, la couvre avant de rejoindre ma chambre…