Soumise à ses désirs

Soumise à ses désirs les plus sadiques… Partie 18

Soumise à ses désirs les plus sadiques

Partie 18

– Euh… Maitre, vous me taquinez, n’est-ce pas ? lui demandé-je avec une certaine appréhension.

Me souriant de façon sadique, il me répond que non. Je le vois bien, que ses yeux pétillent, à la simple pensée de la montée de mon stress. Après tout, il a toujours aimé me voir ainsi, paniquée, et ce, pour absolument tout.

Dans ma tête, je suis réellement terrifiée à l’idée de danser autour de la barre, sous le regard attentif de Mon Maitre.

Cela n’est jamais arrivé, ni avec lui, ni avec quiconque. J’ai peur… Je suis effrayée à l’idée de ne pas être à la hauteur et de le décevoir.

– Taryn, ne réfléchis pas, n’y pense pas pour le moment et concentre-toi sur tes trente minutes de tapis pour commencer. me murmure-t-il, tout en me caressant tendrement la joue.

Résignée, je m’apprête à me diriger en direction de celui-ci, lorsqu’il m’arrête.

– Ma belle, avant que tu y ailles, je te veux entièrement nue pour marcher et courir, avec seulement tes pinces à seins que je relierai aux poignets de l’appareil. me dit-il, avant de se lever pour aller les récupérer. J’en profite donc pour enlever ma tenue de soubrette puis me mettre en place.

C’est quelques minutes après qu’il revient avec celles-ci et deux assez courtes chaînes dans les mains. S’approchant de moi, il met le tout en place avant de venir accrocher les pinces à mes tétons.

Il opte pour un pincement modéré, mais s’amuse à tirer un peu dessus pour son grand plaisir.

Il lance ensuite la machine, non sans me donner une petite tape sur les fesses, qui me fait pousser un cri de surprise, avant de retourner s’installer sur le canapé qui se trouve à quelques centimètres derrière moi.

D’où il est, je sais qu’il a une vue directe sur mon corps qui se mouvoit au rythme du tapis roulant. Profitant du fait qu’il soit assez lent, me voici sur la pointe des pieds, les bras croisés dans le dos et les mains attrapant mes coudes, à marcher tout en adoptant la démarche qui plaît tant à Mon Maitre, c’est-à-dire, en croisant les jambes.

Même si je ne peux pas le voir, je ne doute pas un seul instant qu’il aime ce qu’il voit et qu’il profite bien du spectacle que je lui offre.

Assez échauffée, j’augmente la vitesse de sorte à poursuivre en marche rapide. J’ignore ce que fait Monsieur, il n’y a pas de bruit. Bon, tant pis, j’essaye de me concentrer sur mon activité.

En général, moi qui ai l’habitude d’en faire avec de la musique, en regardant un film ou une série, le silence me perturbe. J’aurais dû penser à prendre mon portable ou mon ordinateur.

Pour les dix dernières minutes, j’accélère de nouveau la cadence pour finir la séance en courant, tout en veillant à ne pas trop tirer sur les chaînes reliées aux pinces à seins qui tirent déjà suffisamment sur mes tétons. Cela me fait du bien, me défoule un peu et j’avoue que j’en ai bien besoin.

À sept minutes, je me rends compte que je devais être très concentrée, car je ne me suis même pas aperçu que Mon Maitre était revenu vers moi pour mettre la machine en pause.

Lorsqu’elle se stoppe, il me retire les pinces non sans douleur, me masse les seins avec douceur pour les apaiser, tout en me susurrant à l’oreille de finir le temps qui reste à quatre pattes.

Je souris, car je m’y attendais. Cela fait un moment qu’il voulait m’en voir faire ainsi. Lentement, je me mets en position et attends sagement qu’il la remette en marche.

Il se penche en avant, une main sur le creux de mon dos, me faisant me cambrer, puis me caresse de l’autre, comme s’il le faisait sur une véritable chienne, dans le sens du poil. Je sens son majeur qui vient se perdre entre les lèvres de mon intimité, puis s’insinuer lentement en moi.

Un gémissement s’échappe tandis qu’il entame de lents va-et-vient, mais se retire, me faisant soupirer en signe de protestation et repart s’installer avec un grand sourire, non sans avoir relancé l’appareil.

Espèce de… Il a fait ça pour se venger de tout à l’heure avec la queue ! C’est donc complètement frustrée que je termine mon échauffement. Sadique !

Sans me relever, je me penche en avant pour appuyer sur le bouton qui éteint l’appareil, avant d’aller me chercher une petite couverture à poser au sol pour me protéger du carrelage froid, ainsi que mon portable afin de pouvoir mettre de la musique.

Au lieu d’opter pour la playlist sensuelle, je choisis celle intitulée “Danse”, composée de chansons entraînantes qui me donnent l’envie de chanter, bouger, danser.

Débute alors l’échauffement de chaque partie de mon corps. Commençant par le cou, les épaules, les bras, les poignets, ainsi de suite…

Je passe ensuite aux étirements. Me positionnant dos à lui, j’écarte d’une trentaine de centimètres mes jambes puis vient me pencher en avant, de sorte à poser mes mains au sol pour étirer l’arrière de celles-ci.

Gardant la position, je place ma tête entre mes pattes, l’inclinant de façon à pouvoir voir Mon Maitre, ramenant mes mains sur les hanches, puis mes fesses, les écartant. Je passe alors mon majeur sur mon intimité, avant de l’insérer à l’intérieur, me masturbant ainsi.

Vu la tête qu’il fait à cet instant, je me doute qu’il ne s’attendait pas du tout à cela. Et je ne doute pas une seule seconde qu’il trouve la posture très excitante. Finalement, j’ai bien fait de me mettre à la contorsion.

– Vous imaginez, Maitre… Me posséder dans ces conditions, vous vider en moi et voir votre présent s’écouler jusqu’à venir inonder mon visage ? lui demandé-je, avec un grand sourire coquin.

Je le vois, à son expression, qu’il n’avait pas du tout envisagé une telle possibilité et cela ne me rend que davantage plus fière de le surprendre de cette manière.

À présent, que va-t-il faire maintenant que j’ai planté l’idée dans son esprit ?

Soumise à ses désirs les plus sadiques… Partie 19

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