Une visite inattendue…
Je me réveille en pleine nuit. Bon sang, ça doit être la troisième fois, pourquoi je dors si mal, ce soir ?
Cette fois, je ne persiste pas à rester couché, ça ne sert à rien et décide de sortir faire un tour. Pendant que je marche, je me demande ce qu’elle peut bien faire. Dort-elle…? Écrit-elle…? Ou peut-être, échange-t-elle avec son nouvel “ami”…?
Cela va maintenant faire une semaine que je ne l’ai pas vu, pas touché, putain, ça me manque !
Comme je lui ai dit, la prochaine fois que je dois m’absenter, je lui vole quelque chose qu’elle a porté et qui a son odeur ! Mais ça me tue de penser au fait qu’il y aura certainement d’autres fois où nous serons séparés aussi longtemps, voire davantage.
Je crois, que je peux affirmer que je n’ai jamais autant regretté le choix de mon boulot que depuis que je suis avec elle. J’aimerais pouvoir être plus souvent à la maison, chez nous.
Je sais bien que pour, elle aussi,, la séparation est difficile. Et si elle finissait par en avoir tellement marre qu’elle décide de me quitter pour se trouver un compagnon plus présent ?
J’avoue que rien que de penser à cette idée, ça me fait mal. Merde, j’ai besoin d’elle !
Elle a beau affirmer qu’elle ne pourra jamais aimer comme elle m’aime et que si on venait à se séparer, elle…
Je quitte de mes pensées, lorsqu’un bruit étrange attire mon attention. Qu’est-ce que c’était et d’où ça provenait ? J’essaie d’être attentif, mais plus rien. J’ai sans doute rêvé.
Il me faut qu’une seconde pour retirer ce doute lorsque je suis persuadé d’avoir vu une ombre par là-bas, près des murs en pierre.
Discrètement, je trouve un passage me permettant de m’approcher de l’endroit sans que l’on puisse me voir venir ou même m’entendre.
Et là, je la vois… Une silhouette qui se cache tout en jetant des coups d’œil partout, sur la zone d’entraînement.
Putain, mais qui ça peut être ? C’est interdit au public !
Me rapprochant de nouveau et arrivant tout juste derrière l’individu, je lui saisis le bras pour le lui tordre dans le dos tout en le plaquant contre le mur.
Celui-ci lâche un cri. Ce son, cette voix, je la reconnais !
Je retourne l’individu sans savoir si je préférerais m’être trompé ou non et là, surprise.
Putain, mais qu’est-ce qu’elle fait là ???
Non, ce n’est pas possible. Elle ne peut pas être là, en face de moi, à me sourire alors que c’est un site interdit au civil !
-Putain Taryn, mais qu’est-ce que tu fous ici ??? Et comment t’es entré d’abord ? T’imagines si c’était quelqu’un d’autre qui t’aurait attrapé ?
Merde, voilà qu’elle est triste… Visiblement, elle ne s’attendait pas à cette réaction de ma part.
-Je voulais seulement te souhaiter un joyeux anniversaire en personne… Me répond-elle d’une petite voix… Mais j’ai fait une erreur, je n’aurais pas dû… Je vais rentrer, je suis désolée…
Elle retire son bras et commence à s’éloigner. Bordel, mais qu’est-ce que je fais, là ? Je la rattrape, la retourne face à moi et la serre dans mes bras. Qu’est-ce qu’elle m’a manqué !
Je la relâche pour l’embrasser… Cela n’a rien à voir avec un doux baiser, celui-ci est plutôt brutal. J’ignore pourquoi, mais je n’arrive pas à contrôler ce que je ressens.
Putain, pourquoi j’ai besoin de lui faire mal, là ???
Je la plaque, dos au mur, les bras au-dessus de la tête en lui ordonnant de les laisser là.
Je la détaille de la tête au pied, une queue de cheval, sa veste longue qui lui arrive au-dessus des genoux, des collants et des chaussures… Plates???
C’est quoi ça ?! Je la saisis par les cheveux et la force à se baisser pour les retirer. Puis lui fait reprendre la position initiale.
Je défais rapidement sa veste pour voir ce qu’il y a en dessous, sa petite robe chemisier noire que je déchire en tirant et faisant sauter les boutons laissant place à un beau soutien-gorge à dentelle rouge.
Je sors maintenant mon couteau et coupe l’entrejambe de son collant découvrant un string en dentelle rouge assortie au haut.
Un magnifique tableau se dresse à présent devant moi.
La voici totalement à ma merci et putain que ça m’excite !!!
J’avance et m’arrête devant elle, colle une main derrière sa tête et l’embrasse sauvagement tout en la forçant à me sucer la langue.
Je m’attaque ensuite à ses seins que je sors de leurs bonnets et que j’apporte à ma bouche pour les savourer, les mordre, bien fort, ce qui lui fait pousser un cri que j’étouffe d’une main tandis que de l’autre, je défais mon pantalon pour en sortir ma queue.
Je la marque partout à l’aide de mes dents. La douleur lui prend toute son attention qu’elle ne remarque pas lorsque je la porte, mais pousse un autre cri quand je l’empale d’un coup sec sur ma queue en érection.
Je la baise, contre le mur, ainsi. Je suis brutal, j’en ai besoin.
J’enchaîne les va-et-vient. J’y vais fort, profond. Je veux qu’elle me sente. Qu’elle sente bien ma bite la baiser profondément.
Putain, je suis à un tel niveau d’excitation qu’il faut que je me retienne de gicler tout de suite. Mais impossible, c’est trop fort, je lui remplie la chatte de mon foutre !
Je me retire, laissant mon sperme lui dégouliner sur les jambes. Qu’est-ce qu’elle est bandante comme ça !
Eh merde, j’en veux encore ! Je la retourne face au mur, la fait se cambrer tout en lui écartant les jambes et lui refourre ma bite dans la chatte.
Elle me réclame des coups de bite, veut que je la baise plus fort, que j’aille taper au fond. Putain, la salope ! Je la malmène et elle en redemande encore !
Elle me supplie de la remplir de nouveau et je ne tarde pas à la satisfaire une deuxième fois.
Cette fois, c’est elle qui se retire et se met à genoux devant moi pour essuyer ma queue avec sa langue…
Putain qu’elle est bonne !
Après m’avoir nettoyé, elle se relève, me regarde en souriant…
-Euh… Joyeux anniversaire, chéri…?
J’éclate de rire avant de la serrer dans mes bras…
Putain, elle me rend dingue, mais qu’est-ce que je l’aime.