Entretenir la flamme

Mais elle va me rendre dingue… (Dernière partie)

Mais elle va me rendre dingue… (Dernière partie)

Bon sang, j’avertis rapidement les hommes avant de me précipiter jusqu’à la voiture. Il me faut quinze minutes pour y être, alors que ça commence dans dix !

  -Hummm, toi, seul, en train de conduire… Cela me rappelle ce matin… Pas toi…? Lorsque je te chuchotais à l’oreille, tout ce que j’aimerai pouvoir te faire, alors que tu étais au volant… Et si à chaque fois que tu prenais la voiture, je te prenais en bouche pour te lècher, te sucer et t’engloutir entièrement, jusqu’à ce que tu déverses ton sperme…? Au fait, tu sais que j’en ai envie, là, tout de suite…? De t’avaler…?

  -Mon ange, tu me rends dingue, si tu continues, je vais me présenter devant mes collègues et supérieurs avec une belle bosse. La réunion avec toi va déjà être très éprouvante à mon avis, alors tu voudrais bien me laisser souffler un peu jusqu’à ce que je sois arrivé et installé ?

Silence… Est-ce bon signe ou non ? Je l’ignore…

  -Bien, comme tu voudras, mais en contrepartie, je me rattraperai… Durant la réunion. Me répond t-elle avec un grand sourire dans la voix.

Eh merde, j’aurais mieux fais de me taire et de la laisser faire ! Malgré toutes ces années ensemble, je continue encore de me faire avoir. A croire que je ne retiens rien, alors que je la connais cette petite… Grrr !!! Elle est née pour me rendre fou ! C’était vraiment pas une blague, quand elle affirmait que je finirai dans un asile, plus tôt que je le croyais.

Arrivant sur le parking, je gare la voiture et me précipite pour éviter d’être davantage en retard, que je ne le suis déjà. Me voici devant la salle de réunion où m’attendent mes collègues et supérieurs… J’entre, m’excuse auprès d’eux pour mon retard et vais m’installer derrière la seule table de libre et prépare ma feuille et mon agenda pour prendre des notes.

Je pense que tout le monde est présent, car on ferme la porte. Un officier se présente et nous donne la raison de ce rassemblement.

  -Commandants, Messieurs, je vais vous présenter l’exercice prévu pour la semaine prochaine.

Tandis qu’il débute sa présentation, une petite voix vient de nouveau mettre à mal, ma concentration.

  -Chéri… Auparavant, je te disais toujours de m’imaginer sous la table avant que tu n’ailles à une réunion… Mais cette fois, je veux que tu m’imagines, là, assise à l’autre bout de ta table, les jambes bien écartées, t’offrant ainsi, une vue directe sur mon intimité …

J’apporte mes doigts à ta bouche pour que tu les lubrifient avant de venir effleurer cette partie découverte de moi… J’écarte mes lèvres et viens titiller l’entrée de mon antre du plaisir… Tu n’as envie que d’une chose… Que je fasse entrer un doigt, et c’est ce que je fais, mon amour… J’entame quelques va-et-vient, lentement… Que tu le vois bien entrer et sortir…

Je suis à présent assez mouillée pour en rajouter un deuxième, ce que je fais… Tu le vois, là, rentrer…? Hummm… Tu crois qu’on peut en rajouter de nouveau un autre…? On va essayer… T’as vu, j’ai trois doigts à l’intérieur de moi… Qu’est-ce que ça te fait, hein…?

Quoi ? Tu veux que j’accélère…? Tout ce que tu voudra, mon amour. Alors c’est mieux, ainsi ? Bon sang, tu entends, le bruit de mes caresses, des pénétrations…? Je me sens pleine, mais pas assez… J’ai envie de toi, de ta queue… Que tu me prennes, là, tout de suite… J’ai besoin de te sentir… Possèdes-moi, je t’en supplie… Pitié…

Putain ! Je deviens fou à entendre ses paroles, mais pas que… La garce, elle se masturbe vraiment à l’autre bout du fil !!! Mon pantalon se fait vraiment serré au niveau de mon entrejambe. Bordel ! Ses gémissements me tuent. Je sens que je ne vais pas y arriver. J’essaie tant bien que mal de me concentrer sur les paroles de l’officier. Bon dieu, il peut pas accélérer, lui ?! Restes calme, craques pas, ce n’est pas le moment. Zen, zen… Zen mon cul !!!

Cette salope ! Ce bruit… Je le reconnais, c’est son vibromasseur ! Elle ne va pas oser, quand même… Elle fait un son bizarre, j’ai l’impression qu’elle essaie de me parler, mais que quelque chose l’empêche d’articuler ou qu’elle le fait exprès. Mais quel con, elle est en train de sucer sa bite en silicone ! Je l’entends, pousser les mêmes gémissements que lorsqu’elle astique ma queue avec sa sublime bouche.

Je l’imagine, là, comme elle me l’a décrit, sur ma table, jambes écartées, en train d’avaler son sex toy. Merde, mais fais pas ça, mec, penses pas à ça, t’es complètement fou ! Prends tes notes, sois sérieux.

Silence… J’attends… Quelques secondes passent, quelques minutes, toujours rien… Je me dis que l’oreillette n’a sûrement plus de batterie. Ouf… Je vais pouvoir respirer de nouveau et reprendre mon calme.

J’entends un cri suivi d’un soupir et je comprends tout de suite qu’elle se l’est enfilé ! Le mode vibreur est de nouveau activé. La garce, elle l’a fait exprès !

  -Mon amour, et si tu te mettais debout, pour te caresser là, juste en face de moi…? J’ai envie de voir à quel point je t’excite, à quel point tu es dur pour moi. Je suis trempée, pour toi, parce que je t’imagine en train de me baiser à la place de ce truc. Toi seul arrive à me faire du bien, à me combler entièrement. Avec toi, je me sens vraiment pleine. J’ai envie de jouir avec toi, à l’intérieur de moi. Que tu me prennes profondément, vite, très vite. Que tu te laisses aller, que tu deviennes sauvage, brutal. Que tu m’utilises pour ton plaisir. Que tu me prennes dans toutes les positions que tu voudra, dans tous mes orifices.

Je suis toute à toi, entièrement à toi. S’il te plaît, viens me rejoindre… Pitié… J’ai besoin de toi…

Je commence sérieusement à m’agiter sur ma chaise, la position est très inconfortable. Intérieurement, je craque. Discrètement, je place ma main près de ma joue, de sorte à relier l’oreillette à ma bouche pour lui murmurer d’arrêter.

Et là, un officier me regarde et me demande:

  -Un problème, Patron ?

  -Non non, Lieutenant, je pensais à haute voix, simplement.

Je remarque le regard curieux d’un autre collègue sur mon calepin, qui lève les yeux vers moi et me chuchote:

  -Euh… Tu penses à haute voix et tu écris “salope” sur ton calepin ?

Eh merde, comment j’ai pris mes notes, moi ! Je baisse la tête et relis mes notes. Oh putain, qu’est-ce que c’est que ça ?!

 -Ah mince, amour, aurais-je trempé tes notes en me masturbant dessus ou est-ce toi qui a bavé dessus en m’imaginant la chatte bien ouverte, baisée par un vulgaire god…? T’es en colère, tu m’en veux ? Et si tu venais me punir ? Je veux que tu m’attrapes brutalement par les cheveux à m’en faire mal pour me faire descendre de cette putain de table. Que tu m’incendies pour avoir osé l’inonder, puis que tu plaques mon visage de petite salope dessus, tout en me fessant, encore et encore. Et lorsque que tu seras satisfait de voir mes fesses complétement rouges, sautes-moi comme tu en as envie, comme la grosse chienne que je suis, pour vider tes couilles bien pleine de ton foutre.

Je t’en supplie… J’ai envie de jouir, mais je veux le faire avec toi. Pitié. Ne me laisses pas ainsi.

Bordel, là, elle m’a complètement achevé, faut que j’aille me branler, qu’on se fasse jouir ensemble. Attends, qu’est-ce qu’il a dit, l’autre ?

  -Bien, alors Messieurs, bonne journée.

Oh yes, c’est terminé, j’attends qu’il y en ait un qui sorte avant de le suivre. Mon curieux collègue tente de me retenir, mais pas le temps, il y a urgence, là !

Je fonce jusqu’au toilettes, heureusement que je ne croise personne, on se poserait de sérieuses questions à mon sujet. J’y suis, je rentre dans l’un deux, déboutonne mon treillis, descends la braguette et en sors ma très douloureuse queue. Oh bon dieu que ça fait du bien !

J’écoute ma petite garce continuer ses rapides va-et-vient, je viens caler mon rythme au sien.

  -Chéri, parles-moi, dis moi tout ce qui te passe par la tête. me réclame ma femme en chaleur.

  -Vas y ma petite chienne, laisses toi aller. Imagines que je te mette à quatre pattes et que j’enfonce ma bite, bien au fond de ton trou pour te le défoncer, tellement, que tu en aura mal et qu’il te sera difficile de marcher durant plusieurs heures, voire plus. T’es à moi, t’es mon objet, je fais ce que je veux de toi. Tu n’a rien à dire, tu encaisses et c’est tout. Est-ce que c’est clair ?

Tandis que je poursuis mes va-et-vient en parfaite symbiose avec elle. Elle m’en réclame plus, elle veut que je la fasse jouir, elle me supplie. Je me lâche :

  -Est-ce que c’est clair, petite pute ? Bien, maintenant que tu as compris, je t’attrape les cheveux et je tire bien fort dessus. Et même si tu as mal, je ne lâcherai pas, car je veux te faire très mal. Tu vas me payer ce que tu m’as fait endurer jusqu’à maintenant. Je sors ma queue de ta chatte dégoulinante et je te la fourre directe et d’un coup sec dans ton putain de petit cul.

T’as mal ? Eh bien je m’en fou, t’es là pour mon plaisir après tout, tu vas prendre cher, je te le garantie. Je t’encules, vite, fort, tellement fort que tu en pleures et comme tu le sais, j’aime voir tes larmes, ces larmes provoquées par ce mélange de douleur et de plaisir. Allez, regardes-moi et dis moi que tu aimes ça, quand je fais de toi mon objet, ma chose, mon sextoy. Je te prends quand je veux, où je veux, et tu n’aura pas intérêt à te refuser à moi.

Et je me viderai encore et encore, dans ta bouche, dans ta chatte, ton cul et je te recouvrirai.

Je veux que tu jouisses ainsi, alors que je te défonce le cul. Allez, vas y, je t’ordonne de jouir pour moi, tout de suite. Puis ensuite, tu te retournera et je te giclerai sur le visage pendant que tu me dira tout ce que je t’ai demandé de me dire tout à l’heure.

Maintenant, jouis !

A l’instant même où je lui le lui ordonne, la voici prise d’un foudroyant orgasme. Putain que c’est bon de l’entendre jouir, ainsi, parce que je lui en donne l’ordre. Allez, ça va être à moi. Je l’imagine se retourner, j’attends ses paroles.

  -Je te remercie, mon amour. Tu as bien accompli ton boulot. Cela m’a fait du bien. Je te laisse, à ce soir. Je t’aime.

Putain, la salope, elle a raccroché, comme ça !!!

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