Soumise à ses désirs

Soumise à ses désirs les plus sadiques… Partie 16

Soumise à ses désirs les plus sadiques

Partie 16

Revenue à la maison, il me pose délicatement sur le canapé, comme une femme dont on prend soin, et me retire le we vibe ainsi que ma veste.

Je ne suis point surprise de constater que Mon Maitre n’a en réalité, rien préparé pour le pique-nique, car si je comprends bien, celui-ci m’a suivi à distance durant tout ce temps, s’amusant à mes dépens.

Je n’en ai la certitude que lorsqu’il me montre son téléphone, dont il s’est servi pour me filmer lorsque j’ai failli succomber à mon premier orgasme.

Je rêve ! Mais en fait, j’aurais dû m’en douter… Comme s’il allait louper une occasion de me rendre dingue et de m’observer dans une situation des plus embarrassantes.

Alors que je me remets de cette fulgurante jouissance, je décide de me lever du canapé, pour aller préparer tout ce qu’il faut pour notre moment en tête-à-tête en plein air.

Tandis que je m’affaire à ma tâche, je déclare à Mon Maitre que je ne mettrais plus les pieds dans l’épicerie du village.

Parce qu’il me demande pourquoi, je lui explique ce qui s’est passé et la gêne que j’ai pu éprouver, le faisant rire de bon cœur.

Venant juste de terminer, qu’il m’appelle afin que je vienne me poser à ses pieds, en position d’attente à genoux. Je m’exécute, attendant ces consignes.

– Taryn, ma belle, je voudrais que tu ailles mettre ta queue, tes oreilles avant que l’on sorte et surtout, prends ton jouet afin qu’on puisse jouer à  » va chercher ». me dit-il tout en me caressant la tête puis la joue.

Toute heureuse, la petite chienne que je suis est folle de joie, tellement que je me précipite pour m’occuper de ma transformation.

Il ne me faut que quelques secondes pour être prête, et c’est à quatre pattes, mon jouet dans la bouche que je reviens près de Mon Propriétaire qui m’attendait avec grande impatience.

Lorsqu’il me voit arriver, ses yeux pétillent d’une lueur à la fois douce, brillante, intense et pénétrante. Cela me plaît et me touche au plus haut point, de le voir ainsi.

Ce qu’il dégage me transporte littéralement.

Voyant Mon Maitre se lever pour se diriger en direction de la porte d’entrée sans m’ordonner de le suivre, je couine, toute triste, qu’il ne m’emmène pas avec lui.

Je remue la queue quand je le vois revenir, ma laisse et le sac rempli des préparatifs dans les mains, je suis toute contente et impatiente.

Accrochant ma laisse à mon collier, il me fait comprendre que je dois le suivre tout en restant à ses pieds. Nous voici qui quittons la maison pour aller nous poser dans le jardin.

Arrivés, il sort les différents plaids pour les étaler sur l’herbe, puis y dépose la nourriture et les boissons, avant de s’y installer confortablement et de tapoter sa cuisse droite, pour que je vienne y poser ma tête.

Sa main droite vient effleurer mes cheveux, décroche ma laisse, retire mon jouet de la bouche s’apprêtant à le lancer. Automatiquement, je me mets en position, sur les avant-bras et les genoux, la poitrine au sol et le cul en l’air.

Il le lance, j’attends qu’il me dise d’aller le chercher. Quelques secondes avant qu’il le fasse et que j’aille le récupérer pour le ramener à Mon Maitre qui le relance à l’opposé. Là encore, j’attends son autorisation avant d’aller le chercher et revenir lui apporter.

Cette fois, il ne le reprend pas, il prépare deux sandwichs, un pour lui et un pour moi, qu’il me fait manger à quatre pattes sur mes avant-bras.

Pendant que nous mangeons, il fait quelques pauses pour passer ses mains sur mon corps, mon intimité, prenant tout son temps. Il est fait le désir en moi, pour le faire descendre, recommençant encore et encore, me rendant ainsi folle… De lui.

Alors qu’il attrape une bouteille d’eau pour boire, il saisit ma gamelle qu’il a dû prendre, car moi, je n’y avais pas pensé. C’est fou comme il pense à tout, cet homme. La posant à terre, devant moi, près de mon délicieux sandwich, il la remplit d’eau afin que je puisse laper.

Nous finissons tranquillement de manger, puis, je le vois tout ranger dans le sac, le met de côté pour m’offrir plus de place lorsque je viendrai poser ma tête sur ses cuisses, afin que nous puissions nous reposer un peu.

Ses mains parcourent tendrement mon corps, cela m’apaise, me détend. Je ferme les yeux et savoure ce magnifique moment.

Après, je dirais une bonne heure, Mon Maitre se lève, l’ordonnance d’attendre son retour bien sagement tandis qu’il ramène le pique-nique à la maison pour remettre au frais, ce qui doit l’être.

À son retour, il me félicite d’être une bonne petite chienne, puis nous rejouons à « va chercher ». Nous nous amusons bien, que ce soit Le Maître ou moi. Nous partageons un instant de grande complicité.

Il arrête tout à coup le jeu, et m’annonce que nous allons faire une petite promenade dans les bois à côté. Je suis toute excitée, nous n’en avons pas eu beaucoup l’occasion de le faire.

Rattachant ma laisse à mon collier, je m’installe à ses pieds, le suivant, là où il ira.

Son air fier, son sourire me font beaucoup de bien. Il a l’air tellement bien, là, tout de suite, heureux…

Malgré le fait que je vis dans un endroit assez isolé, nous n’oublions pas que parfois, des gens viennent ici pour se promener. Nous restons donc assez prudents.

Nous marchons un certain temps, avant de faire demi-tour pour retourner à la maison, poursuivre cette belle journée.

Que me réserve la suite, je l’ignore, nous ne prévoyons pas souvent à l’avance, on ne sait jamais. Mais ce que je sais, c’est qu’elle risque bien d’être intense…

Soumise à ses désirs les plus sadiques… Partie 17

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