Une délicieuse aventure... Défendue... Ou pas

Une délicieuse aventure… Défendue…  Ou pas… Partie 3

Une délicieuse aventure… Défendue… 

Ou pas…

Partie 3

 

C’est debout, au centre de la cage, de sorte à être le plus inatteignable possible depuis les barreaux, que j’observe ce qui se passe autour de moi, à la recherche d’un quelconque détail qui me permettrait de m’évader d’ici.

D’après ce que je peux voir, il y a seulement deux accès à cette pièce, l’une qui mène à l’endroit où je me suis réveillée et la deuxième, je l’ignore totalement.

Des pleurs attirent mon attention. Je tourne la tête vers la droite, une jeune femme en larmes, supplie pour qu’on la relâche. 

Aussitôt, des rires résonnèrent. Ces enfoirés masqués se moquaient ouvertement d’elle. Bande d’enfoirés ! Ça les amuse de nous voir ainsi terrifiées par la situation et notre sort incertain.

J’aimerais pouvoir leur sortir quelque chose pour les remettre à leur place, mais malheureusement, je ne suis absolument pas en position de le faire.

J’essaie tant bien que mal de contenir la rage qui tente de me submerger. Je hais le fait de me sentir ainsi impuissante.

Je souhaiterais lui dire quelque chose qui pourrait l’apaiser, mais je ne sais pas si nous avons ne serait-ce que le droit d’ouvrir la bouche ou même d’adresser la parole aux autres captives.

À part la jeune femme qui pleurait et moi, toutes les autres sont assises sur l’espèce de lit en bois. Aucune d’entre nous n’osent prononcer le moindre mot de peur des répercussions. Nous restons donc silencieuses en attendant de voir ce qui va se passer.

Plusieurs minutes passèrent sans que personne bouge, jusqu’à ce qu’un type arrive et s’adresse à ses compagnons.

– Allez les gars, venez, le chef nous rassemblent pour un débriefing. leur annonce-t-il.

À peine entendis-je sa voix que je reconnus immédiatement cet enfoiré qui m’a emmené jusqu’ici après mon réveil.

Tous sans exception, quittèrent leur poste pour le rejoindre avant de disparaitre par l’un des deux accès à cette pièce.

Nous étions désormais seules, dans nos cages fermées à clé, sans possibilité de nous enfuir. On se jetait toutes des regards inquiets, mais malgré le fait qu’on était plus surveillée, personne n’osait dire quoi que ce soit. 

C’est environ une trentaine de minutes plus tard qu’on vit le groupe revenir. À proximité de nous, ils se séparèrent en plusieurs groupes de deux hommes qui allèrent se poster devant chaque cage occupée.

L’un d’entre eux tenait les clés tandis que l’autre portait une bassine d’eau chaude, si on se fiait à la vapeur qui s’en dégageait.

Le premier ouvrit la cage pour permettre au deuxième d’entrer et de déposer la bassine au sol avant de ressortir et de verrouiller la porte.

– Bien, mesdames, afin de vous préparer pour les festivités, nous allons vous demander de bien vouloir vous déshabiller pour procéder à votre toilette à l’aide de cette bassine d’eau chaude et des petits flacons de gel douche et de shampoing. Évidemment, si l’une d’entre vous éprouve des difficultés à se rincer les cheveux, nous nous porterons volontaires pour vous aider. finit-il dans un sourire pervers.

Je n’ai pas besoin de jeter un coup d’œil aux autres femmes pour connaitre leur réaction. Il est fort probable que nous ayons tous le même. 

Ces enfoirés cherchent à nous humilier en nous forçant à nous mettre nue et à nous laver devant eux. Il en est hors de question !

Aucune d’entre nous ne bougeait, refusant toutes d’obéir à ces ordures.

Le chef afficha un sourire avant de s’adresser à un de ses hommes.

– Numéro 1, montre-leur ce qui leur arrivera si elles n’obéissent pas.

Le dénommé numéro 1 n’est autre que cet enfoiré de tout à l’heure qui appelle l’un de ses compagnons, lui chuchote quelque chose avant de se tourner vers moi. Souriant de façon sadique, il s’approche de ma cage.

Putain, pourquoi a-t-il fallu que cela tombe sur moi !? 

– Déshabille-toi et lave-toi, m’ordonne-t-il juste devant ma porte.

– Jamais ! lui répondis-je droit dans les yeux.

De nouveau, il sourit, ouvrant la porte avant d’y pénétrer. D’instinct, je recule de peur, jusqu’à me heurter aux barreaux.

À peine reconnus-je mon erreur que trop tard, des hommes s’étaient faufilés derrière ma cage et m’attrapaient les bras qu’ils écartaient à travers les barreaux.

Je me retrouvais à sa merci, immobilisée, terrifiée.

Il attrape la bassine et en un instant, il me vide le contenu dessus, me trempant de la tête au pied avant de la jeter au sol.

S’approchant davantage de moi, toujours en souriant, il me demande : 

– Et maintenant, es-tu prête à enlever tes vêtements trempés et de te laver ? 

Je le regarde droit dans les yeux.

– Je vous ai déjà répondu. Il est hors de question que je le fasse. répondis-je en accentuant sur chaque mot.

D’un coup, il attrape les pans de ma chemise et tire d’un coup sec dessus, arrachant les boutons sur toute la longueur. Les écartant de chaque côté, il dévoile à la vue de tous, mon soutien-gorge en dentelle rouge.

Affichant un air satisfait, il me jette un regard salace tout en passant sa langue sur ses lèvres avant de venir déposer sa main sur mon cou et descendre entre ma poitrine.

Ce geste me révulse tellement, que je me débats, essayant de me libérer. Impossible, je tente de lui donner un coup de pied, un coup de genoux. Il me bloque et m’assène un violent coup de poing dans le ventre, m’arrachant ainsi, un cri de douleur.

– Numéro 1, mollo, pas de marques sur la marchandise avant la vente. l’averti son chef qui, comme tout le monde présent ici, observaient la scène avec grande attention.

– Pardon, chef, mais avouez que celle-ci à un sale caractère et qu’elle n’essaie même pas de nous faciliter la tâche. Promis, je ne vais pas l’amocher avant les festivités. Bien, et maintenant, vas-tu enfin obéir à la consigne du chef ou vas-tu me forcer à employer la force ? me demande-t-il.

– Cognez-moi autant que vous le voudrez, ma réponse ne changera pas. 

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